Dans l’ordre:

• Vous réglez le prix du service.
• Vous signez l’accord de confidentialité que je vous envoie par mail.
• Vous recevez l’intégralité du savoir-faire ainsi que les coordonnées de l’avocat et du comptable avec lesquels je vous recommande de travailler.
• Vous êtes libre de contacter l’avocat pour qu’il vous dise en engageant sa responsabilité si mon savoir-faire s’applique à votre situation spécifique, et aussi (dans le cas d’une activité qui existe déjà et qui est déjà exercée à travers une société) pour qu’elle s’occupe des opérations juridiques par lesquelles vous devrez passer pour profiter du savoir-faire. Elle vous fera une proposition d’honoraires et vous la paierez directement.
• Très important: je vous accompagne pour m’assurer que tout est clair pour vous, et que vous faites les bons choix compte tenu de votre situation (choix du conjoint, existence d’une autre activité, éventuels enfants à assurer, projets d’avenir…).

Non. L’idée est tellement simple qu’elle tient en une phrase.

Ce sont six concepts différents qui, mis bout à bout, permettent d’arriver au résultat. Il arrive que mes clients soient surpris par l’un ou l’autre de ces concepts, c’est pourquoi je vous accompagne pour être certain que tout est parfaitement clair pour vous.

Si vous créez une activité, ou si vous exercez actuellement une activité sans utiliser de société, alors il n’y aura aucune difficulté particulière: il suffira de créer votre société de la bonne manière dès le départ.

Si vous exercez déjà votre activité à travers une société, alors il faudra réaliser des opérations juridiques qui sont du ressort d’un avocat, voire peut-être d’un comptable.

Le conseil juridique est une activité réglementée, réservée aux avocats et aux juristes. Aucune compagie d’assurance n’assure en responsabilité civile un homme qui n’est ni avocat ni juriste pour les conseils qu’il donne.

Pour autant, c’est moi qui ai trouvé la formule providentielle, et à ma connaissance aucun avocat. J’ai le savoir-faire, aucun avocat ne l’a, or je ne peux pas me faire assurer alors qu’un avocat le peut.

Vous comprenez donc que l’avocat apporte sa responsabilité civile, qui va venir couvrir les conséquences d’une éventuelle erreur d’appréciation de sa part, et donc une erreur d’appréciation de ma part puisqu’il est demandé à l’avocat de confirmer que ce que je dis s’applique à votre situation spécifique. En corollaire, si vous renoncez à prendre la conformation d’avocat, vous assumez seul les conséquences d’une erreur de ma part.

Si vous êtes en phase de création d’activité ou si vous exercez déjà votre activité mais sans société, et que vous achetez mes conseils avant de créer votre société, vous profiterez du savoir-faire dès que vous aurez créé votre société, ce qui peut par exemple être fait très rapidement et pour un coût extrêmement raisonnable par mon comptable. 

Si vous exercez déjà votre activité à travers une société, dès l’achèvement des opérations juridiques indispensables.

Non, au contraire, ne serait-ce que parce que vous ne perdrez plus votre temps avec les appels de cotisations des caisses et avec toute la paperasse dont elles sont la source dans votre activité. Vous pourrez vous concentrer sur ce que vous aimez faire.

La sécurité sociale n’est qu’une forme de protection sociale parmi d’autres, une forme dégradée, non performante de protection sociale. Dit autrement, il existe d’autres formes de protection sociales qui sont beaucoup plus performantes. Dès l’achat de mon savoir-faire, et à moins que vous ne préfériez dépendre de la sécurité sociale française, vous devrez veiller à vous assurer au premier euro pour le risque maladie auprès d’un assureur privé agrémenté pour couvrir la branche maladie pour la part “sécu” et la part “mutuelle”, assureur qui vous remboursera vos frais sur la base d’un contrat clair, net et précis (contrat que vous n’avez pas avec les caisses françaises de sécurité sociale). 

Vous devrez aussi vous assurer pour le risque d’accident. Enfin, vous quitterez le bourbier de la retraite par répartition pour passer dans un système de retraite libre par capitalisation: vous vous constituerez un capital à votre rythme, et vous partirez en retraite quand vous l’aurez décidé. En cas de décès, le capital que vous aurez accumulé reviendra aux personnes qui vous sont chères, tandis qu’il n’existe tout simplement pas avec la retraite “sécu”. 

Je vous communiquerai les noms de certains assureurs qui proposent des contrats adaptés, et ce sur simple demande.

Bien entendu, les assureurs privés sont en concurrence et cherchent à vous proposer mieux que leurs concurrents. Un marché concurrentiel est toujours à l’avantage du consommateur, contrairement à un marché sous monopole légal comme celui de la protection sociale “monopolistique” offerte par la sécu.

Vous serez donc beaucoup plus libre demain qu’aujourd’hui, et j’ajouterais plus conscient. La société aurait plus belle allure s’il n’y avait que des gens responsables, choisissant eux-mêmes leurs assureurs, leurs niveaux de garanties, et payant les primes qui vont en face, plutôt des gens dé-responsabilisés par la sécu et qui en sont arrivés à croire que les soins ne coûtent rien alors même qu’ils ne touchent que la moitié de leur salaire net chaque mois en contrepartie d’un service calamiteux.

Votre situation sera extrêmement claire au regard de la loi, donc il est improbable que vous soyez ennuyé d’une quelconque manière.

Vous vous doutez bien que dans la plupart des cas, les assureurs privés sont bien plus performants que les caisses de sécu qui se prévalent d’un monopole: pourquoi ces caisses feraient quoi que ce soit pour réduire leurs coûts de fonctionnement ou faire des gains de productivité, puisqu’elles “ont” un monopole????

Le coût d’une assurance privée dépend de l’assureur et des garanties que vous choisissez. Un homme de 35 ans peut bénéficier d’une couverture maladie complète, au premier euro (part “sécu” + part “mutuelle”), avec des remboursements plafonnés à 2.5 millions d’euros par an, pour environ 250€ par mois, voire même moins s’il accepte une franchise. 

Ce même homme de 35 ans peut avoir un contrat de prévoyance qui lui verse un revenu de 5.000€ par mois et un capital décès toutes causes très sécurisant, pour une prime de l’ordre de 2.000€ par an. 

Quant à votre retraite, c’est vous qui choisissez comment vous la créez (en sachant que les droits acquis sont conservés), mais retenez que votre situation changera du tout au tout puisque vous aurez l’initiative, plutôt que de n’avoir rien d’autre que des promesses d’irresponsables notoires, qui n’ont ni l’habitude, ni les moyens ni même l’intention de les tenir, et qui vous assurent malgré tout que le jour où vous serez devenu improductif, ils exerceront une contrainte (tabassage légal) suffisamment forte sur les gens productifs pour qu’ils se montrent aussi généreux avec vous que vous ne l’aurez été. Or, ce n’est pas parce que vous vous serez fait berner toute votre vie par des menteurs que ceux sur lesquels vous comptez implicitement pour votre retraite se laisseront berner eux-aussi. Plus tôt vous cesserez de faire reposer le confort dans lequel vous vivrez vos vieux jours sur les promesses de ces irresponsables, et plus tôt vous vous constituerez votre propre retraite, mieux ce sera pour vous.

Non! 

Une fois que vous avez bien compris que les caisses de sécurité sociale et les URSSAF agissent dans une illégalité totale, vous avez trois possibilités:

• Ne rien faire et gober toutes les foutaises sur la solidarité, le système que le monde entier nous envie, etc etc. C’est la mouton attitude ou la technique de l’autruche. C’est ce que feront la plupart des gens, notamment ceux qui comptent sur le gouvernement pour leur dicter jusqu’à leurs moindres gestes.
• Vous lancer dans un combat juridique contre les caisses. C’est la solution que j’ai choisie il y a bientôt 10 ans, pensant (sans doute bêtement) qu’un juge disait le droit. Je ne vous recommande pas cette option, car les jugements sont rendus dans des tribunaux créés par la sécu pour la sécu, par des juges dont j’ai acquis la conviction qu’ils sont corrompus.
• OU ALORS, et c’est bien ce que je vous propose, utiliser les possibilités aménagées par la loi et par le droit pour arriver au résultat idéal, mais SANS aucune douleur et SANS aucun risque (la loi, la doctrine, les jurisprudences sont de votre côté, et c’est bien pour ça que l’avocat partenaire d’Untaxd se propose de le confirmer par écrit).

Ce que je vous propose, c’est l’option 3: le plaisir sans la douleur, et avec une sécurité qui ne peut pas être plus élevée, puisqu’une fois qu’un avocat vous a confirmé la méthode, votre risque est nul dans la mesure où il engage sa responsabilité. S’il s’avère ensuite que l’avocat s’est trompé, alors c’est son assurance responsabilité civile professionnelle qui prend en charge les conséquences financières que son erreur a pour vous. Et il est bien évident qu’un avocat ne s’engage pas si le droit n’est pas respecté. 

Par conséquent, ce que je vous propose, c’est le niveau de sécurité maximal: une proposition de valeur ne peut pas être plus sûre.

Le risque n’est-il pas de continuer à vous laisser plumer par des voleurs, qui violent toutes les valeurs de liberté sur lesquelles se fonde la dignité humaine, et qui se moquent ouvertement de vous?

Pour le reste, mon raisonnement est sourcé, cohérent, rigoureux et vérifié. J’ai mis beaucoup de temps à le mettre sur pieds. Je pense sincèrement qu’il est exempt d’erreur, et c’est avec confiance et beaucoup de bienveillance voire d’amour que je vous le propose. Car proposer une telle valeur ajoutée, ça relève bien pour moi d’un geste d’amour. 

Néanmoins, je ne suis pas avocat, et je n’ai pas de contrat de responsabilité civile qui couvrirait les conséquences d’une éventuelle erreur de ma part. C’est pourquoi je travaille avec un avocat qui pourra sécuriser votre investissement de deux manières: d’abord en vous confirmant, à l’occasion d’une consultation, que vous pourrez profiter de mon savoir faire, puis (si vous exercez déjà votre activité à travers une société, vous n’en aurez pas besoin en cas de création d’activité) pour prendre en charge les opérations juridiques par lesquelles vous devrez passer pour profiter du savoir-faire. 

En étant accompagné par un avocat, vous ne prenez aucun risque mis à part celui de perdre le prix de la consultation si l’avocat indique que compte tenu de votre situation il n’existe pas de moyen pour vous de profiter de ma méthode. Pour limiter ce risque, je passerai de bon coeur un peu de temps avec vous pour vous dire ce que je pense de vos chances de pouvoir atteindre l’objectif qui est de ne plus payer ni IS ni IR ni URSSAF.

Je ne sais pas, et j’ajoute que ça ne m’intéresse pas de le savoir.

Je pense que, comme beaucoup de professionnels, les avocats restent sur les chemins qu’on a tracés pour eux. Or, pour trouver cette méthode, il fallait prendre des chemins de traverse envahis par les ronces, et ces chemins me sont apparus parce que j’ai mené les combats que j’ai menés.

Je pense enfin que tout effet est créé par la pensée, et que par conséquent, pour trouver la clé de la liberté, il fallait quelqu’un qui recherche la liberté partout et tout le temps.